mars 2, 2022

SANGAVI > Comment se manifestent le dépassement de soi et la résilience dans notre quotidien ?

La vie est une merveilleuse aventure. Soit. Mais qui dit aventure dit incertitude, pour le meilleur et pour le pire. Est-on sûr de pouvoir surmonter les épreuves ? De progresser autant qu’on en aurait besoin ? En quelques mots, sommes-nous sûrs de pouvoir être à la hauteur de nos vies ?

Le décès d’une personne proche donnant lieu à un choc émotionnel.

Le décès d’une personne n’est pas quelque chose de facile à accepter. Lorsqu’il s’agit de quelqu’un de très proche, c’est encore plus difficile. J’ai perdu récemment ma grand-mère, ce fut un réel choc pour moi. Cette personne a été à mes côtés depuis bien avant ma naissance, elle était toujours là pour ma famille et moi. J’étais totalement effondrée, je n’arrivais pas à réaliser ce qui m’arrivé. Les premiers jours suivant le décès, c’était très difficile de se dire qu’elle n’était plus là, mais il fallait que je continue ma vie, avec une douleur insupportable et profonde. J’avais l’impression d’être abandonné, je ressentais le manque de sa présence. Mais, je me demandais si j’allais pouvoir redevenir « normal », en fait tout simplement moi-même. Ce deuil est l’une des premières expériences où je me suis demandé si je n’allais pas perdre un peu de moi-même…

Peu à peu, les jours passant, j’ai commencé à revenir dans mon « état normal », tout en pensant à elle et en gardant cette douleur au fond de moi. Je regardais des films, des séries pour me changer les idées. À un moment donné, j’ai senti que je remontais à l’air libre grâce à la musique, la lecture, le support de ma famille… J’ai finalement réussi à surmonter ce choc traumatique ou encore cette épreuve douloureuse, au fil du temps.

Même si sa présence est encore forte, je retrouve peu à peu mon allant…

Être confronté à ce type de choc émotionnel, est un très bon test de votre résilience, de votre capacité à surmonter les épreuves. C’est une sorte de passage à l’adulte.

Il faut que vous soyez capable de parler autour de vous (famille, amis proche), pour pouvoir passer à autre chose au lieu de plonger dans une « dépression ».

Ne rien dire vous fait glisser sur le « toboggan de la mort ».

Ma grand-mère voulait que je commence les cours de conduite pour qu’on puisse partager de nouveaux bons moments ensemble. À propos de conduite, le stress monte en abordant ce sujet…

Se surpasser et vaincre sa peur de prendre le volant.

La conduite est une activité que j’apprécie. Au début de la phase d’apprentissage, j’avais très peur de conduire car je n’avais jamais conduit auparavant et prendre le volant me faisait peur, même si je savais que le moniteur était à mes côtés en cas de mauvaises manipulations. Petit à petit, au cours de mes nombreuses leçons de conduite, mon moniteur m’a dit que j’ai beaucoup progressé. La mise en confiance est importante dans le déclic. Elle aide à surmonter plus facilement. Il est important de se trouver des « déclencheurs de confiance » pour surmonter plus vite les épreuves. J’ai senti que je ne craignais plus de prendre le volant et de conduire. Il faut savoir surmonter sa peur lorsque l’on conduit, pour être un bon conducteur. Un peu comme dans sa vie…

Copie de Article atelier d’écriture

Savoir s’entraîner pour réussir et être plus performant est primordial dans n’importe quel domaine, tout comme le sport…

Par ce que j’aime faire au quotidien : le tennis de table !

Le tennis de table est un sport que je pratique, quand j’ai le temps. Comme dans tout type de sport, il faut s’exercer davantage pour être de plus en plus performant. Quand j’ai commencé à faire du tennis de table, j’étais incompétente dans ce domaine. J’avais beaucoup de mal à faire un service, ce qui est la base de ce sport. J’ai dû m’entraîner, m’entraîner et m’entraîner pour devenir performante. Je passais beaucoup de temps au parc pour avoir un niveau correct dans ce jeu. Quand je jouais avec mon père, je perdais tout le temps, je n’avais rencontré seulement des échecs.

Maintenant, je suis tout à fait capable de mener de belles manches et vaincre mon adversaire, quel que soit son niveau.

Comme on dit, l’échec est le fondement de la réussite, à condition de trouver le goût pour persévérer.

S’entraîner pour être performant dans un sport est un exercice physique dans le but de s’améliorer.
Dites-vous que c’est le même principe lorsqu’il s’agit de l’école, c’est-à-dire travailler dur pour réussir.

La peur de ne pas arriver à suivre et valider le diplôme et avec une question de transition entre le lycée et l’IUT.

Lorsque que l’on change d’établissement et surtout quand il s’agit de la transition entre le lycée et l’IUT, il y a un doute : les élèves sont inquiets car les exigences et le niveau ne sont pas les mêmes. En ce qui me concerne, étant en BAC STMG, j’avais très peur d’échouer cette première année de DUT GEA. J’étais dans l’obligation de prendre sur moi si je n’arrivais pas à réussir et donc travailler davantage pour m’améliorer. Étant seulement quelques semaines en présentiel, le passage des cours en distanciel ne m’a pas facilité les choses.

J’ai dû travailler, travailler et travailler pour réussir mes DST. Je consacré beaucoup de temps à mes études, ce qui a fait que j’ai pu valider ma première année, grâce aux efforts que je faisais. Je n’avais jamais lâché le rythme scolaire malgré les difficultés rencontrées.

La vie étudiante est composé tant de choses positives que négatives. Il faut prendre sur soi et savoir avancer. Tout comme au travail, prendre seulement le côté positive des choses est bon pour nous…

Au niveau professionnel, lorsque l’on découvre le monde du travail.

La réalisation de stage en fin d’année scolaire, est également un rite initiatique. Au départ, c’est un moyen de découvrir le monde du travail et surtout d’avoir une première expérience professionnelle. Un stage permet d’acquérir des compétences ou même solidifier nos compétences actuelles. Mais pas seulement… C’est un moyen de vous confronter aux épines des relations humaines. Dans le cadre de ma première année de DUT GEA, j’ai eu l’opportunité de réaliser un stage d’un mois dans le secteur commercial, à Monoprix. Je devais faire la mise en rayon des produits alimentaires et conseiller les clients. Au début du stage, je devais faire face aux difficultés rencontrées au travail : la relation avec les collègues, savoir bien maîtriser une bonne mise en rayon… Les premières semaines étaient fatigantes car les tâches étaient répétitives. Ensuite, je me suis habituée facilement. Mais, je ne m’attendais pas à ce qu’une employée du magasin commence à critiquer mon travail.

Cette employée qui faisait aussi la mise en rayon des produits alimentaires, critiqué la façon dont je m’y prenais pour faire la mise en rayon. Les premières semaines, elle m’imitait car j’étais un peu lente et j’avais du mal à tenir le rythme.

J’étais choquée et très surprise au début. Autant je me disais que ma supérieure aurait pu être cassante, mais je m’attendais pas à des critiques de la part d’une collègue. C’était blessant. Ce comportement venant d’une collègue m’a atteint dans ma vision que j’avais sur les relations humaines. J’ai dû redoubler d’efforts pour être plus rapide dans mes démarches, alors que cette employée ne cherchait qu’à me démoraliser, avec ses critiques. C’est le lot de la vie.

Il faut savoir que dans notre lieu de travail, on peut avoir des personnes de ce type, la seule chose à faire est de se contenter de notre travail, en faisant ce qui nous a été attribué correctement et « esquiver » ces remarques désagréables pour ne pas se laisser aspirer par du négatif.

Un homme doit avoir une certaine ignorance intelligente pour arriver à faire progresser les choses.

Sangavi